vendredi 29 février 2008

Le monopole public de l'éducation

Dans un article paru le 26 février dans la Presse, la journaliste Émilie Côté faisait état des recherches de deux économistes académiques canadiens très connus (David Green et Craig Riddell, de UBC), sur la littératie des adultes canadiens. Leurs conclusions sont plutôt déprimantes :

"Les habiletés de lecture des jeunes Canadiens sont plus faibles que celles que leurs aînés avaient au même âge et au même niveau de scolarité, révèle une enquête rendue publique hier par Statistique Canada. Surtout chez les personnes les plus scolarisées."

Le système communiste a fini par imploser, victime de l'inefficience des monopoles d'État. Comment peut-on encore croire que le monopole public de l'éducation puisse apporter des résultats positifs ? À plusieurs endroits, des expériences ont démontré que rendre aux parents la liberté de décider de l'éducation de leurs enfants (du moins, en partie) est positif. La concurrence est TOUJOURS bonne ! Un exemple récent, en Suède, montre qu'on peut le faire asssez aisément. Aux États-Unis, l'expérience des Charter schools s'est avérée très positive pour les enfants.

Et la fameuse xième réforme de l'Éducation, dont personne ne semble vouloir, à part les bureaucrates du ministère, disparaîtrait bien vite si les écoles étaient libres et en concurrence les unes avec les autres.

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